&& الترجي الرياضي التونسي &&

T.BeN.SaLAH

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12 أفريل 2009
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Dix huit joueurs au rendez-vous

Dix huit joueurs étaient au rendez-vous de la reprise des entraînements de l’équipe professionnelle de l’Espérance.
La liste comprend les joueurs suivants :
Sami Helal, Moez Ben Chérifia, Wissem Naouali, Bilel Ben Brahim, Aymen Ben Amor, Mohamed Ben Mansour, Hamza Hadda, Zied Derbali, Sadok Arbi, Majdi Traoui, Mohamed Ben Azzouz, Zinelabidine Souissi, Hamza Baghouli, Sameh Derbali, Mohamed Ali Ben Hammouda, Hamza Tlili ainsi que les deux nouvelles recrues Borhéne Ghannem et Walid Hichri.

Travail spécifique pour Ayari et Naouara

Le duo de blessés Wassim Naouara et Khaled Ayari s’est entraîné en solitaire dans la salle de musculation. Ces deux joueurs reprendront avec le reste du groupe.

Un travail physique
L’équipe professionnelle a entrepris sa préparation par un travail physique emmené par le préparateur physique Khalil Jebabli. La séance s’est composée essentiellement de courses tout autour du terrain central du Parc Hassène Belkhodja.
Rappelons que la séance s’est déroulée sous la supervision du staff technique de l’Espérance composé de Faouzi Benzarti, Maher Kanzari et Jean Jacques Tizier. En revanche, Mohsen Rajhi dit Zarga a quitté l’Espérance pour rejoindre l’équipe de Tunisie Olympique.

Le programme de préparation
Le programme de préparation de l’équipe professionnelle de cette semaine comprend une seule séance les lundi, mardi et mercredi alors que le jeudi et vendredi, l’équipe s’entraînera matin et après-midi. Le samedi, les joueurs seront soumis à une seule séance matinale avant de se reposer l’après-midi du même jour et le lendemain dimanche.
Les séances matinales sont prévues à 10h00 alors que celles de l’après-midi débuteront à 18h00.

Les photos de la séance


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Travail spécifique pour Ayari et
Naouara



Le duo de blessés Wassim Naouara et Khaled Ayari s’est entraîné en solitaire dans la salle de musculation. Ces deux joueurs reprendront avec le reste du groupe.
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شكرا على المتابعة وإن شاء الله الفريق يكون حاضر للقاءات الحسم والفوز برابطة الأبطال
 
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EST




La reprise au parc «B»
Week-end faste pour l’Espérance. Quelques heures avant le titre remporté par les handballeurs aux dépens de l’Etoile, les juniors «Sang et Or» ont battu le CSHL (2-0). Une victoire qui leur a permis de monter sur le podium. Un sacre fort mérité pour les protégés de Hassen Gabsi.
Comme quoi, cette saison sera marquée dans les annales, avec un record de titres où toutes les sections ont été méritoirement récompensées
Hier après-midi, au parc «B», ce fut le retour aux choses sérieuses, avec l’entame des préparatifs sous la férule du même duo «Benzarti-Kenzari» et la présence d’un grand nombre de supporters, en guise de soutien moral à leurs favoris.
La veille, le défenseur axial Zied Derbali a, enfin, renouvelé son contrat pour un an. Cette décision a été essentiellement motivée par la Champion’s League africaine. Une compétition qui représente l’objectif majeur du club du Bab Souika, avec un premier match fort capital le 17 juillet prochain à Sétif.
Justement, les recrutements de Channem et Hicheri, en plus du retour de Khélifa Sabeur et Sameh Derbali et le rétablissement de Hamza Baghouli s’insèrent dans l’optique de l’enrichissement de l’effectif, surtout que l’Espérance aura à lutter sur plusieurs fronts.
Dans ce même cadre, les responsables «Sang et Or» poursuivent toujours leurs efforts en vue de recruter Rami Jéridi. Seulement, la clause libératoire du gardien stadiste stipule un transfert uniquement pour un club étranger contre une indemnité de 150 mille euros. Cette condition pourrait priver ce gardien de revenir au parc «B» où il a fait son apprentissage chez les jeunes catégories.
Signalons par ailleurs qu’un stage à Monastir figure dans l’organigramme établi par le staff technique, en guise de seconde étape de préparation, après quoi les joueurs retourneront au parc «B» pour disputer quelques matches amicaux qui seront d’un intérêt certain à quelques jours du déplacement à Sétif
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«Dans l’affaire EST-ESS (HB), nous n’avons fait qu’appliquer la loi»
Les activités du comité national d’arbitrage sportif (CNAS) et la nouvelle organisation des juridictions sportives en Tunisie ont été au centre des débats lors de la conférence de presse tenue hier au siège du comité national olympique tunisien (CNOT) par MM. Moncef Foudhaïli, président du CNAS, Samir Annabi, vice-président, Hédi Boukarras, secrétaire général et Akram Zribi, porte-parole. Soit la composition du CNAS au grand complet, des juristes qui font autorité en matière de droit du sport.
«Au sein même des instances sportives, il se trouve une grave méconnaissance ou ignorance de certains aspects essentiels des règlements», a déploré M. Moncef Foudhaïli. «Le CNAS, plus haute autorité juriditionnelle, puisqu’elle vient au troisième degré, rend des jugements définitifs. Mais il est malheureux de constater que par ignorance ou par manque de civisme, ou en vient à mettre en discussion ces jugements», s’est-il inquiété avant de rappeler que le CNAS choisit une vingtaine de jurés parmi des personnalités alliant une solide formation juridique et une parfaite maîtrise des affaires du sport.
Rappelant que les statuts et les règlements de la Fédération tunisienne de handball (FTHB) ont subi des amendements, M. Foudhaïli a exprimé son inquiétude de voir le communiqué du Bureau directeur de l’Etoile Sportive du Sahel prendre position dans l’affaire du match de handball Espérance-Etoile sans tenir compte de ces amendements: «Notre inquiétude puise ses racines dans cette ignorance de l’évolution des réglements de la FTHB. Nous avons en fait infirmé la décision de la Fédération sur la forme sans devoir examiner le fond. L’organe fédéral n’a pas répondu à l’obligation de convoquer les deux parties pour les entendre. A la base, donc, le jugement rendu par la FTBH souffre d’un vice de forme. Nous rappelerons à cet égard que le CNAS n’est pas un comité ordinaire ou une commission de discipline. Ses jugements, rendus par des juristes compétents sont définitifs», a-t-il martelé.
De son côté, le vice-président Samir Annabi a insisté sur la qualité de disponibilité totale qui reste cruciale lorsqu’il s’agit de statuer sur une affaire urgente.
«Un principe de base édicte qu’on ne rend pas un jugement sans assurer le droit de se défendre. Ce droit-là n’a pas été respecté dans l’affaire du match de handball Espérance de Tunis-Etoile du Sahel quand la Fédération a décrété le huis-clos sans inviter l’EST à présenter son point de vue», a-t-il relevé.
«Le CNAS n’est pas un syndicat des clubs ou des fédérations»
Akram Zribi a passé en revue l’évolution connue depuis fin 2006— début 2007 par l’expérience tunisienne en matière de juridication sportive, saluée il y a un mois lors d’un congrès de droit du sport organisé en Egypte. «Le Canada et la Nouvelle-Zélande, qui s’appuient toujours sur une commission désignée par l’administration, soit dans l’esprit du comité de recours désigné par le ministère de Tutelle chez nous, furent impressionnés par le modèle novateur tunisien qui a été amendé l’année dernière dans le sens d’un surcroît d’indépendance des juridictions sportives», a-t-il raconté. «Ainsi, le président du CNOT n’est plus habilité à désigner les jurés dans une affaire, ce privilège ayant été accordé à un conseil juridictionnel afin d’éviter les alliances et affinités électorales. Dans les contrats des joueurs, par exemple, il est spécifié qu’on peut reourir au CNAS en cas de litiges pour éviter les longues procédures, certaines assemblées générales des fédérations sportives peuvent faire l’objet d’appels, et nous avons ainsi dû statuer sur une liste de candidats à une A.G», a rappelé M. Zribi, qui a souligné que le CNAS et l’ensemble des juridictions sportives ne peuvent être pris pour des syndicats des associations ou des fédérations. «Ils appliquent les règlements même si ce ne sont pas toujours les mêmes jurés qui jugent les affaires et que, par conséquent, le CNAS s’emploie dans la mesure du possible à uniformiser la jurisprudence», a-t-il relevé.
Lors de l’AG extraordinaire de la FTHB, en octobre 2009, les statuts de cette fédération ont dû subir une adaptation au statut-type des «fédés» édicté par le ministère de tutelle en février 2009 qui a écourté le mandat des bureaux fédéraux et apporté de nouvelles dispositions dont, justement, l’obligation d’écouter l’auteur de l’appel. «Dans le cas de l’affaire EST-ESS, la convocation des différentes parties pour les écouter, n’a pas eu lieu ni de la part de la commission de discipline, ni de la part du bureau fédéral», a-t-il conclu non sans avoir au préalable rappelé les délais-récords dans lesquels le CNAS a eu à juger dans l’affaire du match CA-ESS: A 8 heures du matcin, il y a eu appel. La juridication s’est réunie à 11h, une heure après la désignation des jurés. «Nous avons décidé alors l’arrêt de l’exécution du jugement», a-t-il rappelé.

«Garantir les droits de la défense»

A la question du «Renouveau» sur les conséquences des jugements rendus par le CNAS qui peuvent donner à croire que ce comité encourage au final la violence et enfreint au nécessaire fair-play, Moncef Foudhaïli a répondu que le rôle du CNAS n’est ni politique ni sécuritaire: «Nous sommes tenus de faire respecter l’application des règlements, y compris au niveau de la forme qui ouvrent la porte devant le fond. Dans la dernière affaire EST-ESS, de handball, il nous a fallu en fait beaucoup de courage pour rendre ce jugement», a-t-il avancé; Pourtant, les dispositions n’exigent pas plus qu’un peu d’attention et de vigilance de la part des organes fédéraux dans le sens, par exemple, de la garantie des droits imprescriptibles de la défense. Il est ainsi malheureux de constater que nos clubs, au moment où va s’appliquer l’imposition des revenus des joueurs et des recettes des clubs, en sont encore au stade de la rédaction maladroite des contrats, comme celui liant le joueur nigérian Otorogo au Club Africain».
«Nous avons le courage d’appliquer les règlements sans tenir compte d’autres aspects dans un Etat du droit et des institutions», a conclu M. Foudhaïli. Hédi Boukorras, secrétaire général du CNAS a mis en exergue les conflits qui peuvent surgir dans l’avenir autour du respect des contrats sur les droits T.V «Depuis le 12 avril 2010, date de l’entrée en vigueur des nouveaux textes régissant les juridictions sportives, nous avons eu à juger dans deux affaires, dont le match de handball EST-ESS. Nous sommes heureux de constater que les fédérations respectent nos jugements même si un plaignant peut recourir au CNOT de par son autorité morale sur le sport national», a-t-il fait observer.




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