مراحل تطور الفأرة عبر التاريخ + بالصور

gharbi marwen

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1963
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انجلبارت دوغلاس ، وهو مهندس في معهد بحوث ستانفورد ،​
صنع أول فأرة في عام 1963 ، كجزء من عملها بشأن حقوق آلة التفاعلات.​
هذه الفأرة البدائية تختبئ في اثنين من عجلات خشبية عمودية تستنسخ الحركات التي تظهر على الشاشة .​
هذا الاختراع سيحصل على براءة الاختراع في عام 1970 تحت اسم " indicateur de position X-Y pour système d'affichage "​
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تجربة التجارب
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وفي 9 دجنبر 1968 ، دوغلاس اجلبارت وخلال المؤتمر المشترك للكمبيوتر " Fall Joint Computer "​
الذي سيكون يوما تاريخيا في تاريخ الاعلاميات ،​
يعرض أول شبكة تطبيقات تفاعلية (نصوص إلكترونية ، والتحرير في الوقت نفسه ، الخ... ) ، بواسطة اختراعه هذا​
بعد ذلك سترشح هذه التجربة لتكون أم التجارب في التاريخ​
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شركة " Logitech" تشق طريقها
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في سبعينات القرن الماضي ، عالم الكمبيوتر السويسري جان دانيال نيكود يقوم باعادة صياغة مفهوم الماوس.​
بعد أن وضع كرة تحت الفأرة قائلا أنها ستزيد حركتها و نشاطها​
و في عام 1985 ، سيشهد العالم ظهور أول ماوس في السوق انها " Logitech C7 "​
و ستصبح هذه الشركة اذاك الرقم واحد في السوق .​
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مايكروسوفت و الماوسات
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ليس بعيدا ، "النجم الصاعد" في البرمجيات _ Microsoft _ تدرك إمكانات هذا النوع الجديد من الملحقات.​
وفي عام 1983 ، تبيع مايكروسوفت أول ماوس ،وبدأ سباق الابتكار مع لوجيتك.​
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أول ماوس بدون كابل
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من جانبها ، قامت لوجيتك باختراع أول الماوس لاسلكي (الترددات اللاسلكية) في عام 1991.​
وسوف يستغرق عدة سنوات ليظهر بخاصية جديدة ، من خلال الأشعة تحت الحمراء أو البلوتوث .​
حتى آبل قد بدأت أخيرا باضافة أزرار إضافية لماوس الماك ...​
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الأشعة الزرقاء
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الموس سيشهد قفزة جديدة في أواخر التسعينات​
باختفاء الكرة و ظهور نظام جديد ، وأكثر دقة بكثير من قبل وذلك عن طريق الليزر​
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و غدا !! ماذا بعد ؟؟
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بعد 40 عاما من وجودها ، الفأرة لم تنه مفاجأتها لنا. ويمكن الآن استكشاف العالم بـ 3D .​
بعض النماذج ، مثل لوجيتك ، تقوم بإلارسال المتعدد في الجو ،​
قادرة على التحكم بـ 3Dمثل Wiimote. وآخرون ، مثل قوس ultracompactes ،​
مايكروسوفت ، تضع نصف عقد من الزمن و النجاحات في كف اليد ...​
 
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Souris (informatique)

Une souris est un dispositif de pointage pour ordinateur. Elle est composée d’un petit boîtier fait pour tenir sous la main, sur lequel se trouvent un ou plusieurs boutons.

La souris a été inventée en 1968 par Douglas Engelbart du Stanford Research Institute après des tests d’utilisation basés sur le trackball. Elle a été améliorée par Jean-Daniel Nicoud à l’EPFL dès 1979 grâce à l’adjonction d’une boule et de capteurs ; il fabrique la souris Depraz qui a été à l’origine de l’entreprise Logitech.

Les premières souris étaient de simples trackballs inversées. La friction de la boule contre la table permettait le mouvement du pointeur sur l’écran. Aujourd’hui, les souris à boules se font rares ; elles sont progressivement remplacées par les souris optiques. Le système de boule avait en effet tendance à ramasser la poussière de la surface horizontale et à encrasser les rouleaux capteurs, ce qui exigeait un nettoyage interne régulier.

Souris à deux boutons et une molette


Utilisation

Pointage absolu et relatif

De nombreux systèmes ont été imaginés pour déterminer les actions qui seront effectuées à l’écran : crayon optique, écran tactile, boule, joystick, tablette tactile, molettes diverses, tablette graphique, trackpoint.

Alors que certains d’entre eux donnent un pointage absolu (les écrans tactiles, par exemple), la souris détecte un déplacement. Celui-ci, par sommation, fournit donc une position relative : par exemple, un mouvement de la souris vers la droite provoque un mouvement du pointeur à l’écran vers la droite, indépendamment de la position absolue de la souris sur le plan de travail. Si le pointeur se trouve déjà à droite de l’écran, un mouvement de la souris vers la droite n’aura aucun effet (le pilote veille en effet à ce que le pointeur ne puisse apparaître que dans des zones autorisées).

La souris ne permet de fournir que deux informations de position (x et y). Ce dispositif ne convient donc pas pour un déplacement spatial de précision exigeant trois coordonnées (x, y et z) quand ce n’est pas six (en y ajoutant les trois angles d’attaque). D’autres dispositifs, plus onéreux (ring, bat) existent à cet effet.

Tenue en main

Une souris se tient le corps dans la paume, les boutons sous les doigts (le fil, s’il y en a un, étant à l’opposé de l’utilisateur). Le mouvement sur la table doit se faire dans le même sens que les mouvements à l’écran.

Pour déplacer une souris avec précision, il est préférable de laisser le talon de la main sur la table, et de garder les doigts au contact des boutons, afin de ne pas bouger lors du clic.

Support

Il était utile avec les anciennes souris "mécaniques" d’avoir un support bien homogène afin que la souris glisse facilement et régulièrement. On nommait ce support un tapis de souris et il pouvait être en papier, plastique, tissu, etc. Aujourd’hui, la table sur laquelle est posée la souris suffit.

Le verre et les surfaces brillantes ou trop sombres ne sont pas recommandés pour les souris optiques. Si le pointeur à l'écran ne reproduit pas les mouvements de la souris, il est recommandé de placer une feuille de papier blanc sous la souris.

Souris symétriques et asymétriques

Il est considéré comme plus commode pour les gauchers d’inverser les boutons : le bouton droit devient le bouton principal, tandis que le bouton gauche devient le bouton accessoire. Cependant, dans la pratique, les gauchers n’ont pas toujours la possibilité d’inverser les boutons et s’adaptent très bien à l’utilisation d’une souris à la configuration optimisée pour un droitier, même en s’en servant de la main droite. Plus rarement, on constate que certains droitiers tiennent leur souris de la main gauche.

Certaines souris sont symétriques, se prêtant facilement à l’inversion des boutons (accessible dans la configuration du système), d’autres sont asymétriques, et les gauchers devront veiller à choisir des souris inverses des droitiers. Dans la pratique, cette asymétrie obéit à un impératif plus marketing que fonctionnel.

Les documentations mentionnant historiquement des boutons gauche et droit, il revient aux gauchers qui ont inversé les leurs d’inverser aussi ces termes.

Souris et handicap

Utilisation par les personnes déficientes

Certaines souris à retour de force sont conçues pour donner une sensation de dureté :
lors du franchissement du bord des fenêtres ;
lors du passage sur une zone cliquable.

Ces souris permettent un usage plus commode par des personnes ayant des problèmes de vue.

Un paramètre du pilote aujourd’hui répandu permet de simuler le clic ou le double-clic au moyen de mouvements saccadés particuliers.

Source de handicap

Souris avec boule de commande, que le marketing de cette société présente comme étudiée pour minimiser les inconvénients dûs à une utilisation intensive. Le modèle représenté est pour droitier, il existe également pour gaucher.

La souris est un accessoire peu dangereux quand le poste de travail est correctement configuré (bras de l’utilisateur à l’horizontale et surtout pas montant, même très légèrement). Comme tout ustensile utilisé intensivement, elle peut provoquer des lésions, en l’occurrence des tendinites. On peut en atténuer le risque en alternant l’usage de la main droite et de la main gauche, ce qui demande cependant un entraînement. Les activités professionnelles exigeant un usage permanent de la souris peuvent induire le syndrome du canal carpien, voire la formation de callosités et même des déformations de la main et du poignet. Les constructeurs essaient avec plus ou moins de succès des formes de souris plus ergonomiques, existant en version droitier et gaucher.

Selon des chercheurs néerlandais, l’ensemble main/bras ou cou/épaule est affecté de manière proportionnelle au nombre d’heures passées en utilisant la souris, avec un risque plus important pour le bras et la main que pour la région cou/épaule. La souris aurait par ailleurs plus d’impacts négatifs sur la santé que l’utilisation de l’ordinateur sans souris, ou que le seul clavier sans souris1.

Connecteurs de souris

Avec fil

Les premières souris Macintosh avaient leur propre connecteur ; elles utilisèrent ensuite l’ADB (Apple Desktop Bus).

Les premières souris pour PC utilisaient un connecteur sur un port spécifique ou un port série (ou port RS-232), et ensuite un port PS/2.

Depuis 1997, les souris pour Mac et PC utilisent le port USB ; c’est le type de connexion qui tend à devenir le standard pour toutes les souris à câble.

Sous Unix, et particulièrement sous les systèmes X-Window, il est parfois nécessaire d’indiquer le périphérique et son protocole au fichier de configuration du serveur X. Ainsi, pour une souris USB, on indiquera le périphérique /dev/input/mice ; pour une souris PS/2 /dev/psaux ; et pour une souris Série /dev/tty0 à tty4 suivant le port.

Sans-fil

Souris sans fil.

Les technologies actuelles permettent de s’affranchir d’une connexion physique entre la souris et l’ordinateur, en passant par une liaison infra-rouge ou radio. Un boîtier est relié au port classique destinée à la souris et transforme les signaux reçus par le capteur infra-rouge ou radio en signaux compréhensibles par le protocole standard de la souris. La technologie radio offre l’avantage de passer par-dessus les obstacles, par rapport aux infra-rouges. On utilise un système de canaux radio pour ne pas mélanger les signaux de différents appareils.

L’avenir semble à la technologie Bluetooth, standardisée pour tout type de périphérique, qui évite la profusion d’émetteurs/récepteurs.

La plupart des souris sans fils sont alimentées soit par des piles, soit par une batterie/accumulateurs (souvent appelés "piles rechargeables"), qui se rechargent lorsqu’on pose la souris sur son réceptacle. N’oubliez pas que les piles et batteries usagées doivent êtres recyclées en les mettant dans des bacs prévus à cet effet.

Les souris sans fil peuvent avoir un temps de réponse plus long que les souris filaires, selon la technologie employée. On parle aussi de latence ou de "lag" dans le jargon des joueurs.

Sans fil et sans pile

Le gros inconvénient des souris sans fil est la nécessité de les alimenter en énergie, ce qui conduit à remplacer régulièrement les piles ou à les recharger.

Il existe des souris magnétiques, qui nécessitent un tapis spécial relié au port USB et alimenté par lui. Le tapis est chargé de détecter les mouvements de la souris et les transmet à l’ordinateur.

Les tablettes graphiques peuvent aussi utiliser une souris à la place du stylet, mais la zone de détection reste limitée à celle du tapis ou de la tablette.

Boutons et leur utilisation

Souris à 1 bouton

Souris à 2 boutons

Souris à 3 boutons

Les souris standard pour PC ont aujourd’hui une molette en plus de leurs deux boutons ; la molette (un bouton spécial) qui peut aussi bien être tournée (molettes mécaniques) que pressée (Trackpoint, donnant un troisième degré de liberté à la souris) s’est répandue. Les souris avec plus de deux boutons (voire deux molettes) remplissent différentes fonctions assignées à chacun par les applications, le pilote ou le système d’exploitation.

Par exemple, un utilisateur du bureau Windows, GNOME ou KDE utilisera le bouton de gauche dans le navigateur web pour suivre les liens, alors que celui de droite fera apparaître un menu contextuel permettant à l’utilisateur de copier des images ou un lien pour imprimer, etc.

Apple a longtemps continué de produire des ordinateurs avec des souris ne comptant qu’un seul bouton, car leurs études montraient que les souris à un bouton sont plus faciles à utiliser. Pour obtenir le menu contextuel, ouvert par le bouton droit sur les PC, il faut maintenir la touche spéciale Contrôle — souvent Ctrl — appuyée pendant le clic. Néanmoins, en août 2005, Apple a sorti une souris à quatre boutons (droite, gauche, un trackpoint à la place d’une molette un double-bouton latéral).

Dans le monde UNIX ou Linux (plus généralement utilisant X Window System), le troisième bouton est traditionnellement utilisé pour la fonction de collage : un simple balayage d’une zone de texte avec le bouton gauche enfoncé copie du texte, un clic sur le bouton central le colle.

Du fait que le troisième bouton est quasiment standard sous Unix, on lui a attribué de nombreuses autres fonctions dans les bureaux graphiques évolués : un clic central sur de nombreux éléments du bureau ou des fenêtres donne un accès facile à de nombreuses fonctions.

Sous Firefox, un clic central sur un lien ouvre la page dans un nouvel onglet, un clic central sur un onglet ferme celui-ci.

Pour les souris qui n’ont que deux boutons, il est possible de simuler un troisième bouton par appui simultané sur les deux boutons.

Pour la plupart des souris actuelles, le troisième bouton se présente sous la forme d’une roulette permettant de faire défiler les pages plus facilement.

On trouve facilement des souris ayant les deux boutons classique, une molette que l’on peut cliquer (soit déjà 5 actions possibles, que l’on appelle 5 boutons), plus encore deux boutons "précédent" et "suivant". Ces deux derniers boutons servent par exemple à consulter la page précédente ou suivante dans un navigateur internet ou un explorateur de fichiers. Ils sont parfois intégrés à la molette, qui peut basculer à droite et à gauche.

Il existe aussi une souris à quatre boutons ayant un bouton droit, un bouton gauche, un bouton sur la molette et deux autres boutons sur les côtés qui marchent ensemble. Cette souris développée par Apple, la Mighty Mouse s’accorde parfaitement avec Mac OS X. Il est possible d’appliquer des actions à effectuer comme ouvrir des applications lorsque l’on clique sur un bouton.

Entretien

Les souris sans boule demandent peu d’entretien.

Les modèles à boule doivent être fréquemment démontés, car de la poussière se met sur les rouleaux, gênant leur rotation. Cela se fait facilement à la main, mais il peut être nécessaire, dans les cas d’encrassement sévère, de recourir pour cette opération à un accessoire de nettoyage, tel qu’un coton-tige légèrement humide. Dans tous les cas, il est important de ne pas laisser tomber de saletés à l’intérieur du boitier de la souris, faute de quoi le risque de rencontrer des problèmes de fonctionnement futurs est fortement augmenté.

Il se met aussi de la crasse sur les patins glisseurs.

Les phénomènes d’encrassement sont diminués par les tapis en tissu, ou par une forme spéciale des rouleaux. Les rouleaux ont la fine zone directement en contact avec la boule d’un diamètre un peu plus grand que le reste du rouleau. La poussière se dépose donc autour de cette zone, lorsque le mouvement de la boule le permet. Le déplacement dans un axe de la souris nettoie le rouleau détectant le mouvement perpendiculaire.

Par précaution, un nettoyage périodique de celui-ci est toujours le bienvenu pour limiter l’encrassement des organes mécaniques de la souris.

Il peut aussi arriver que la molette d’une souris s'encrasse. La poussière s’introduit progressivement sur la roue codeuse chargée de détecter la rotation. Dans ce cas, un démontage plus profond de la souris est nécessaire.

Extensions du modèle de la souris

L’usage d’applications en OpenGL qui demandent six degrés de liberté au lieu de trois conduisent à rechercher des dispositifs de pointage permettant de rentrer de façon analogique six informations simultanées2 (trois de position et trois d’orientation) : Spaceball, The bat, anneau radio orientable porté au doigt, etc.

Représentation graphique : le pointeur

Le pointeur de la souris est un graphisme (ou sprite) sur l’écran. Il peut prendre nombre de formes pouvant dépendre du contexte, et il sera à l’occasion dénommé curseur. Lorsque l’utilisateur déplace la souris, le curseur se déplace. L’utilisateur peut ainsi sélectionner un élément (caractère, mot, bouton, image…).

Mesure des mouvements de la souris

Souris à boule :1 : Mouvement de la boule2 : Rouleau transmettant les mouvements latéraux de la souris3 : Disque perforé4 : Diode électroluminescente5 : Capteur optique

Souris optique Sun avec son tapis

Plusieurs technologies sont ou ont été utilisées pour mesurer les mouvements de la souris.

Technologie mécanique

La souris contient une boule en contact avec le support où elle est utilisée. Deux rouleaux perpendiculaires entre eux actionnés par cette boule permettent de capter les déplacements de la souris sur le sol. Un troisième rouleau permet de stabiliser la boule. Les rouleaux sont solidaires d’un axe au bout duquel se trouve un disque perforé laissant passer la lumière d’une diode électroluminescente ou au contraire la bloquant. Une cellule photoélectrique recevant cette lumière fournit quand la souris se déplace un signal alternatif, grossièrement |sin(x)|, de fréquence proportionnelle à la vitesse. À l’aide d’un trigger de Schmitt, on peut obtenir un signal en créneaux, chaque impulsion créneau correspondant à une perforation, et on peut calculer la vitesse de déplacement de la souris selon chaque axe.

La résolution de la direction du déplacement (gauche-droite vs droite-gauche) se fait en utilisant deux cellules de réception décalées d’une demi perforation. Après conversion en signal en créneaux binaires (0 = pas de lumière, 1 = lumière), les booléens fournis par le couple de cellule prennent forcément la suite de valeurs (0, 0), (0, 1), (1, 1), (1, 0) dans cet ordre ou dans l’ordre inverse ; l’ordre indique la direction du déplacement. En effet, le placement décalé des deux cellules fait que l’on ne peut jamais passer directement d’un état où les deux sont éclairées à un état où les deux ne sont pas éclairées, ou vice-versa ; en d’autres termes, lorsque la souris se déplace, un seul des deux signaux booléens peut varier à la fois (Code Gray sur deux bits). On obtient ainsi une résolution de ½ perforation.

Pour obtenir une position absolue sur l’écran, la solution la plus immédiate est de totaliser les impulsions (déplacement relatif de ±1 en abscisse ou en ordonnée) ; ceci est généralement fait par logiciel. Certains systèmes permettent des manipulations plus complexes, comme un comportement non-linéaire vis-à-vis de l’accélération, censé faciliter la traversée de grandes zones d’écran par la souris sans fatigue de la main de l’utilisateur, les mouvements rapides (et peu précis) étant amplifiés plus que les mouvements lents.

Les premières souris comportaient des cylindres à la place de la boule. Cela rendait la souris moins précise car les déplacement horizontaux et verticaux s’effectuaient moins facilement quand ils étaient associés lors d’un déplacement oblique.

Le principal inconvénient de la souris mécanique est le dépôt de poussières qui s’accumulent sur les rouleaux, modifiant aléatoirement le transfert des mouvements de la boule aux rouleaux. En raison de ce phénomène, la plaque trouée supportant la boule dans la partie inférieure de la souris est démontable, permettant à l’utilisateur de nettoyer les rouleaux.

Technologie optique Mouse Systems

Développée par Mouse Systems vers 1982, elle utilise un tapis métallique, solide, rigide et quadrillé. En envoyant un rayon de lumière et en captant le retour, la souris arrive à savoir qu’un déplacement a eu lieu.

Elle a été utilisée sur des PC, mais surtout par Sun Microsystems pour ses stations de travail. Un inconvénient est que la mesure du mouvement dépend de l’alignement du tapis. Cette technologie n’est plus utilisée.

Technologie optique DEL

Une micro-caméra filme le support et un processeur interprète le défilement des aspérités comme un mouvement. Cette technologie ne nécessite pas de tapis spécial, mais il faut quand même éviter les supports réfléchissants (verre, plastique brillant, bois vernis…) ou trop sombres.

Technologie laser

Inventée par les ingénieurs de Logitech. Ils ont remplacé la DEL de la souris optique par un petit laser, ainsi la source de lumière est plus intense et plus ciblée, permettant d’obtenir un meilleur cliché de la surface.

Technologie optique infrarouge

La Diamondback Plasma de Razer.

Inventée par les ingénieurs de Razer. Utilisée notamment sur les souris de la même marque, comme les Diamondbacks.

La tendance actuelle est aux souris commutables instantanément du doigt entre trois sensibilités différentes. On peut ainsi à la fois bénéficier de déplacements très rapides du pointeur et d’une excellente précision sans effort de tension nerveuse chaque fois que l’on en a besoin.

Performances

Les performances des souris se fondent sur leur précision et la célérité de déplacement du curseur. La vitesse du curseur se calcule en unités de base dénommés mickeys. Le mickey correspond au rapport entre la longueur de déplacement du pointeur (en pixels) et celle du capteur ou du dispositif de repérage sur une surface (généralement plane) calculée en pouces. Un mickey correspond approximativement à un deux-centième de pouce. On parlera plus communément de DPI (Dots Per Inches, Points par Pouce).

Gadgets

Ventilateur

Certaines souris disposent d’un ventilateur au centre avec un bouton sur un côté pour l’activer ou l’éteindre.

Souris vibrante

Certains constructeurs ont introduit des souris « sensibles » : au passage d’un objet (lien hypertexte, bouton, changement de fenêtre…) la souris vibre légèrement, donnant une impression de relief.

Souris odorante

Certaines souris permettent d'expulser des parfums avec un petit système intégré, rechargeable, on connait la célèbre souris fitco de chez alfacom.
 
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